vendredi 7 février 2020

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Une fois n’est pas coutume, je vais vous offrir une page de publicité dans ce blogue en vous parlant de plusieurs projets qui m’ont tenu à cœur en 2019, et auxquels j’ai participé. Il s’agit d’un jeu de cartes qui m’ont fasciné au premier coup d’œil et d’un livre qui me semble aborder des questions clés, offrir des outils essentiels. J’ai accompagné ces deux projets en rédigeant la préface qui les présente et ce sont ces préfaces que je vous livre ici. 


Cartes EnfiligrÂME

De Laetitia Lescher

La première fois que j’ai vu le jeu de cartes de Lætitia, je me suis exclamé : « ces images sont vivantes ! » J’aurais pu ajouter : « et elles parlent... », et j’aurais alors anticipé ce que Lætitia m’a dit un autre jour, alors que je l’interrogeais sur sa démarche de création. Je suis resté un long moment fasciné par les images, les couleurs choisies et les compositions parfois surprenantes, toujours signifiantes. Quand elle m’a demandé d’écrire une préface pour présenter enfiligrÂMEMD, elle m’a rappelé ces mots qui m’avaient échappé et la discussion qui s’était ensuivi. C’est que je ne parlais pas d’images vivantes au hasard : les cartes nous présentent des tableaux aussi saisissants que certains rêves, de ces rêves que l’interprétation n’épuise pas et qui nous ouvrent des portes intuitives vers un autre monde. Ce sont des images actives qui, non seulement se prêtent volontiers au jeu de la synchronicité pour être utilisées en tant qu’oracles, mais aussi touchent l’âme au profond de la dimension archétypale qu’elles évoquent. Elles se laissent contempler, et chacune d’entre elle raconte une histoire, qui n’est pas toujours la même d’une fois sur l’autre. Elles nous tendent un miroir, et dans ce miroir, nous pouvons contempler l’inconscient de nos vies.

Lætitia est une passeuse de conscience. Elle se présente comme une inspiratrice de changement, ni artiste, ni coach, ni thérapeute. Pourtant, elle touche à toutes ces dimensions. Elle fait des collages depuis son enfance. Elle travaille sur elle depuis longtemps au travers de ces images qui lui viennent dans des moments d’inspiration; elle accompagne des personnes en transition. Elle a longtemps été la directrice générale d’un grand groupe avant de décider de passer à la pratique privée. Les cartes sont nées en 2012 d’une exposition des tableaux de Lætitia, où une de ses amies avait vu qu’ils feraient de très belles cartes. La révélation du sens de cette démarche est venu dans la discussion avec cette amie d’un jeu sur les mots, de la langue des oiseaux appliquée au nom de l’exposition : « métamorphose ». Mets ta mort, et ose ! Alors Lætitia a osé, et elle s’est lancée dans une recherche passionnée sur le processus de métamorphose, la capacité de se dépouiller de ses peaux et la mort symbolique permettant d’aller vers soi-même, l’alchimie qui transforme le plomb en or. Les cartes enfiligrÂMEMD; sont le produit de cette recherche.



En prenant le temps de contempler ces cartes, on peut sentir affleurer un monde mystérieux, qu’on peut dire être la dimension de l’âme. Le grand psychologue suisse Carl Jung disait que « la psyché est faite d’images », et non de théories, de concepts ou de mots. Nous vivons dans un monde d’images, bombardés sans trêve par des écrans qui sollicitent notre attention, mais rares sont celles qui nous aident à entrer en contact avec nos profondeurs, qui nous invitent à rêver et à ouvrir nos ailes intérieures. C’est parce que la démarche de création de Lætitia est allée puiser dans cette  intériorité au travers d’un dialogue passionné avec la vie de l’âme qu’à leur tour, ces œuvres nous convient à partir à la rencontre de cette dimension mystérieuse, et cependant combien nécessaire pour que nos existences aient une certaine profondeur. Dès lors, elles parlent un langage intime qui permet à chacun d’entrer en contact avec lui-même, sa nature profonde. La puissance créative qui coule dans ces images en fait des outils remarquables pour le travail avec l’âme.

On peut voir le travail de collage de Laetitia ici : galerie

On peut se procurer ses cartes ici : en-filigrame




Livre "pour s'initier à la communication amoureuse"

De Caroline Von Bibikow, avec des illustrations de Roseline D'Oreye

J’ai eu le privilège d’assister à la naissance de ce livre. A plusieurs reprises, Caroline et moi nous sommes retrouvés pendant quelques jours pour des résidences d’écriture. C’est-à-dire que nous nous isolions un peu du reste du monde pour travailler ensemble, et cependant séparément, chacun sur nos propres projets. Chaque matin, nous commencions la journée par un petit rituel, très simple, dans lequel nous communiquions à l’autre où nous en étions dans notre processus, ce qui nous motivait particulièrement ce jour là, quels étaient nos objectifs pour la journée. Et puis, à différents moments, nous partagions autour de nos textes, nos interrogations et nos doutes, nos enthousiasmes. Nous n’étions pas un couple, tout au plus des amis associés temporairement dans un espace de création, et cependant nous pouvions mesurer une fois de plus l’extraordinaire efficacité de ces petits gestes simples mais chargés de sens que nous dénommons « rituels » pour orienter notre énergie et ouvrir le chemin à la réalisation de nos projets. Et je me sentais privilégié d’entendre Caroline me présenter les rituels qu’elle voulait proposer aux couples pour faciliter leur communication, et quelles pédagogie et qualités de communicante elle a mobilisé pour transmettre sa grande expérience dans ce domaine. La première chose dont je peux témoigner, c’est que ce livre a été écrit avec cœur, beaucoup de cœur.

Peu de gens se rendent compte de l’importance des rituels. Et parmi les personnes qui en mesurent l’importance, il y a encore bien peu d’hommes, si bien qu’il me parait tout naturel que ce livre s’adresse d’abord aux femmes, à qui la tâche revient souvent d’initier une communication essentielle dans le couple. Ceci dit, les hommes seraient bien inspirés de jeter un œil dans ce livre que leur compagne a eu la bonne idée de commencer à lire. Ils n’y trouveront rien qui soit réservé aux femmes, et bien des choses qui nous concernent tous et toutes, nous les êtres humains, car comme le disait fort bien Mme Dolto, nous sommes des êtres symbolisant. Nous nous nourrissons de symboles ; nous ne cessons de nous exprimer symboliquement, et quand ce n’est pas nous, c’est notre corps qui symbolise volontiers dans des symptômes ce qui nous affecte. Les rituels sont partout, souvent inaperçus, par exemple dans la poignée de main qui dit la main ouverte sans arme, le bisou donné à l’enfant ou l’accolade offerte à l’ami, la tape dans le dos du collègue, c’est-à-dire autant de gestes porteurs de sens, qui en disent long sans qu’on ait besoin d’explications.

L’inconscient n’est pas un intellectuel. Il n’a pas grand-chose à faire des grands mots auxquels on assimile bien souvent la communication alors que celle-ci repose sur un art tout à la fois beaucoup plus simple que les élaborations conceptuelles, et plus subtil. C’est un art surtout féminin, si le féminin psychologique est bien compris comme étant fondamentalement relationnel et enraciné dans l’écoute et la réceptivité, mais encore une fois non réservé aux femmes. On sait comment le langage du corps ne saurait tromper, et que l’on ne retient qu’environ 10% de ce qui nous est dit. Mais nous retenons l’essentiel de comment nous nous sommes sentis, en particulier sur le plan émotionnel, dans un échange, or ce ressenti est lié à la trame sous-jacente de la communication qui repose sur les attitudes, les gestes et les éléments symboliques qui touchent l’inconscient. Ce dernier a besoin de gestes porteurs de sens pour comprendre et entériner un changement. C’est pourquoi, par exemple, depuis des temps immémoriaux, deux êtres qui décident de s’engager ensemble se passent une bague au doigt, célèbrent leur union dans un grand rituel de mariage, au lieu de se contenter d’un simple engagement verbal. Mais la vie du couple, dans tous ses aspects et toutes ses évolutions, gagne beaucoup à être ponctuée de petits et grands rituels, que ce soit pour favoriser un temps d’échange, initier une rencontre amoureuse, nettoyer les déchets relationnels, demander et offrir un pardon, appeler un renouveau, et jusque dans la séparation ou la mort, etc.




Caroline est certainement une des meilleures personnes qui soit pour transmettre les bases de cet art qui se fonde aussi sur des connaissances tout à fait objectives en matière de communication relationnelle et rituelle. C’est une femme de théâtre qui a longtemps démontré une grande rigueur empreinte de souplesse et de subtilité en arbitrant des matches d’improvisation. Communicologue passionnée et avertie, elle allie clarté de pensée et adresse pédagogique supportée par de nombreux exemples enracinés dans la vie, éprouvés par l’expérience. Elle anime régulièrement des ateliers, que ce soient des tentes rouges et des cercles où se retrouvent des femmes, des groupes de co-développement où elle aide des participants de tous horizons à structurer leurs projets et à passer à l’action, et jusqu’à des groupes d’hommes qui apprécient son leadership sensible et respectueux. J’ai eu tout particulièrement l’occasion d’apprécier ses qualités de leader et de communicante en allant marcher dans le désert du Sahara avec Caroline, car c’est aussi une femme de désert qui y emmène des groupes depuis longtemps. Je crois que toutes celles et tous ceux qui ont la chance de la côtoyer dans ces ateliers et voyages seront d’accord avec moi pour dire que Caroline est d’abord une femme de cœur, par qui le cœur prend voix et s’exprime clairement.

Il me semble enfin que ce livre fait honneur à une filiation spirituelle à laquelle il rend subtilement hommage. Caroline et moi nous sommes rencontrés en effet dans le cadre de l’école québécoise Ho Rites de Passage fondé par la regrettée Paule Lebrun, qui a beaucoup contribué à notre formation en travail rituel. Paule parlait volontiers de la Grande Faim de sens et de symboles, de rituels simples sans lesquels notre âme meure d’inanition. Elle espérait par ses écrits et son école contribuer au réenchantement du monde, ce qui commence par le réenchantement de notre quotidien et de nos  relations les plus précieuses, les plus intimes. Sa devise était « gardons la flamme vivante » et elle espérait transmettre cette flamme au-delà de son existence. Pour moi qui ai bien connu Paule, il est évident que Caroline est une de ses dignes héritières, une porteuse de cette même flamme qu’elle s’attelle maintenant à communiquer, par ce livre et de bien d’autres façons. 

Puisse-t-elle vous éclairer et vous enchanter !


On peut se procurer son livre dans toutes les bonnes librairies, et par exemple, il était récemment à Rennes au salon UNITEssence, et sur le site de Caroline : komuniki.


Et bien sûr, je ne peux pas parler des grands projets de 2019 sans évoquer, parmi d'autres publications, mon roman l'Arme absolue qui est paru en décembre. 



Vous pouvez en lire le quatrième de couverture et le premier chapitre ici : arme absolue.

6 commentaires:

  1. À l'origine, le terme renvoi à une plaisanterie (« troll positif ») où le trolleur tire satisfaction d'avoir réussi à berner ses victimes, à leur avoir fait PERDRE DU TEMPS. Son champ s'élargit à partir des années 2010 et il peut dorénavant aussi s'appliquer à l'envoi de messages provocateurs et offensants, exacerbés par l'anonymat et la tribune que procure internet (« troll négatif »). Cette seconde définition s'apparente au flaming, et peut parfois mener au cyberharcèlement.
    En premier, la forme de trolling la plus répandue et la plus anodine : celle du troll de base, dit de « troll bête ». C’est un internaute qui généralement ne lit pas les articles, messages du sujet et commente sans réfléchir.
    Ensuite, vient le troll « ontologique ». Celui-ci constitue la définition la plus généralement utilisée du troll, cet individu qui provoque pour faire déraper la discussion, soit pour le plaisir, PARCE QU'IL S'ENNUIE ou même sans aucune raison particulière.
     Le troll « flatteur » ou « flagorneur », est cet internaute qui fait semblant de s’extasier devant le talent d'autrui pour occuper l'espace médiatique.
    L'identité en ligne est manipulable et tout un chacun est libre de sélectionner les informations qui sont le plus en adéquation avec la personnalité qu'il veut mettre en avant.
    Cette possibilité de distorsion de la réalité peut être source de dérives, dont le trolling fait partie.
    Pour reprendre les mots de Michel Gensollen, les trolls utilisent les communautés virtuelles et les règles qui les régissent comme des « aires de jeux » et « détruisent pour exister ».
    L’un des effets du trolling est aller à l’encontre des intérêts de la communauté. Au lieu d’adhérer à la logique de coopération, de collaboration et de partage propre au fonctionnement des communautés, le troll SERT SES PROPRES INTÉRÊTS.
    Ce comportement antisocial est d'autant plus facile à mettre en place que les communautés ont tendance à ne pas mettre de barrière à la participation (Anne Revillard).

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    1. Je te remercie Marie pour cette mise au point tout à fait bienvenue, intéressante contribution à l'étude du phénomène. On sait de qui et quoi tu parles, et j'espère simplement que ce commentaire de ta part ne traduit pas une exaspération devant l'étalage d'insanités qui pollue souvent ce blogue. Ce serait lui donner trop d'importance.

      Tu connais la règle : don't feed the troll. Ne nourrissez pas les trolls. La meilleure façon de les traiter est de ne leur accorder aucune attention, et surtout ne pas répondre, ne pas engager la discussion car (on l'a déjà toi et moi constaté) elle ne mène à rien. Pour ma part, je m'en contrefous donc et je ne te cacherai pas que je ne lis même pas les messages la plupart du temps : dès que je reconnais dans la première phrase le style inimitable de notre ami, je passe à un autre appel...

      Tout au plus y-a-t-il là un matériau intéressant d'une forme de délire égocentré et sans filtres. J'ai observé avec le temps une évolution du discours jusqu'à même être capable de produire deux ou trois commentaires pertinents dans les derniers mois. J'ai voulu y voir une preuve de ce que finalement, la fréquentation de mon blogue pouvait avoir un effet positif même sur les cas désespérés. Et il m'est arrivé de discuter avec des amis de l'intérêt d'une étude de ce genre de comportement en analysant les messages comme s'ils tenaient d'un inconscient qui se déverse sans retenue, et souvent sans idée de comment il se dévoile dans des formes de mégalomanie, du style laissez-moi vous expliquer, moi qui ait tout compris...

      Plus sérieusement, j'ai pris mon parti, après m'être longtemps questionné, de ne pas déroger aux règles que je m'étais fixées en ouvrant ce blogue, à savoir que je permets le commentaire anonyme et que, sauf nécessité, je ne modère pas les commentaires. Si je revenais sur l'anonymat, je pourrais interdire d'accès notre troll domestique, mais il pourrait encore changer d'identité et de toute façon, cela conviendrait à un principe qui m'est cher de libre expression. L'anonymat sur Internet, au-delà de ce blogue, est un principe fondateur de notre liberté sur le réseau. D'autre part, je me refuse à modérer les commentaires car j'ai constaté que cela introduit une distorsion dans les discussions, d'autant que je ne suis pas toujours en ligne et qu'il peut y avoir un délai important entre le moment où le commentaire est posté et celui où il est approuvé. Et puis c'est une charge de travail supplémentaire dont je n'ai pas besoin avec mes multiples activités. Cela ne m'empêche pas d'en user momentanément quand j'estime que les bornes sont dépassées... et de faire le ménage de temps en temps.

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    2. Bien sûr, ma permissivité a des conséquences. Il y a des gens qui s'abstiennent de poster des commentaires par peur d'être pris à parti par notre trollito. D'autres m'ont accusé de laxisme et sont allés voir ailleurs, s'insurgeant de ce que je puisse laisser un espace ouvert à tant d'outrecuidance. C'est amusant, j'avais cette discussion récemment avec une amie qui par ailleurs diffusait sur son site les propos d'un pseudo gourou usurpant une identité amérindienne, et comme je lui faisais remarquer cette usurpation, elle me rétorquait que je laissais bien mes colonnes ouvertes à notre troll, ce qui lui semblait bien plus dommageable (lol). Pour ma part, je préfère m'assurer de la validité des sources dont je me fais l'écho et je laisse les chiens aboyer quand la caravane passe...

      Et donc, tout cela ne me parait guère important. Si quelqu'un a quelque chose d'intéressant à dire, il le dira malgré les risques qu'il court de lire une réponse stupide, et sinon, et bien il peut quant à moi continuer à y penser. Quant aux censeurs en puissance qui croient que je devrais faire régner ici la loi et l'ordre, je les invite à s'occuper de leurs blogues. Pour ma part, je n'accorde donc à peu près aucune importance à notre troll. C'est un phénomène inévitable sur Internet et au moins le notre n'est-il pas complètement idiot. On peut même s'amuser à le suivre dans ses délires en riant d'un tel étalage d'âneries à saveur spirituelles (un beau contre-exemple, non ?), et penser qu'il n'en est pas tout à fait dupe...

      Alors voilà, j'ai un troll comme chien de garde sur ce blogue. Il n'est pas méchant même s'il aboie beaucoup. Mais je te rassure, Marie, il ne mord pas. Il a juste besoin qu'on lui donne de l'attention, ce qu'il vaut mieux éviter de faire. Sinon il frétille de la queue à n'en plus finir, et cela devient envahissant.

      Allez, je profite donc de cet échange pour faire le ménage, c'est-à-dire nettoyer et déclarer comme pourriels les commentaires qui ne servent qu'à étaler ici l'indigence de la pensée de notre super héros galactique.

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    3. 😙 oui il faut nettoyer la maison régulièrement c'est tout 😙

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    4. Bonjour ,

      Je suis le professeur Youdoungoulé de l’Université de Bamako, docteur en psychiatrie, membre de l’académie des Beaux Arts et je tenais à intervenir car j’étudie ce “ troll “ depuis de nombreuses années. Je serais clair, bref et précis :
      1. je pense que nous sommes face à un Don Quijote bien réel, je rappelle que cela n’arrive qu’une fois tout les 1000 ans !
      2. je refuse le terme de troll à un individu si intelligent, ce serait vouloir castrer l’énergie vitale et originelle de l’Univers qui a voulu, je tiens à le préciser, créer cet être extraordinaire, en toute conscience et tout bien tout honneur.
      3. Il est évident qu’il évolue dans le “ flow “ en permanence ou presque : sa souplesse d’esprit, ses capacités d’adaptation semblent illimités.
      4. Il me rappelle un peu Jacques Chirac à qui j’ai pu serrer la main en 83 et qui m’avait offert une pomme.
      5. Il nous parle du voyage chamanique comme d’un tour de manège et cela signifie qu’il est incontestablement sur la voie royale qui mène à l’Incs bien au de la des simples rêves. Il est peut être lui même déjà un chaman confirmé et de ses propres aveux il est souvent traversé de visions fantastiques : indiens autour d’un feu, chakras, paysages d’un autre monde etc…sait -il guérir son prochain en utilisant ses pouvoirs chamaniques ? je l’ignore.
      6. comme tous les génies, il est très exigeant avec lui même et avec les autres et n’hésitent pas à se moquer des plus nains et de ceux qui ont un balai dans le bas du dos.
      7. Il voit la vie comme un terrain de jeu. Le tennis ou les échecs représentent peut être le mieux sa vision du monde.
      8. Il est beaucoup plus mystérieux que Castaneda, personne ne connait son identité et ses apports concepts sont nettement supérieurs. Je rappelle qu’il à été le premier à parler ici de la conscience Absolue ou grand Soi, du voyage chamanique ( technique supérieure aux rêves j'insiste ) , du voyage quantique, des doubles, de l’échelle de la sagesse et dernièrement des ondes cérébrales comme de clefs vibratoires pour passer dans d’autres mondes.

      Bien cordialement,

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    5. Mort de rire. Allez, je garde ce commentaire comme un morceau d'anthologie. Tu vois Marie, au moins a-t-il le sens de l'humour, notre trollitito, et il n'est pas idiot. S'il s'y mettait sérieusement, il pourrait faire un très bon gourou... ;-) Et puis quoiqu'on fasse, quoiqu'on dise, il trouvera le moyen de faire tourner un ballon sur son nez pour qu'on lui donne un peu d'attention. C'est dur, la vie, pour les petits trolls...

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