dimanche 6 mai 2018

Un temps de silence

Je ne reviens pas vraiment de mon voyage dans le désert. C'est Théodore Monod qui, peut-être, parle le mieux de ce qu'on y rencontre quand il écrit :

« Il y a une certaine saveur de liberté, de simplicité... une certaine fascination de l'horizon sans limites, du trajet sans retour, des nuits sans toit, de la vie sans superflu. »

J'ai cherché comment vous raconter ce voyage, et puis un petit poème m'a montré la voie :

Un temps de silence,
un temps de vacance
qu'emplit l'évidence :
le chemin passe par l'absence.

Bien sûr, les mots font partie de ce superflu dont on se dépouille dans le désert. Alors aujourd'hui, pour vous en partager tout de même quelque chose, je préfère vous montrer quelques photos qui vous diront l'essentiel sans commentaires :








 À bientôt !